Hein, une note a disparu?
Elle n'a pas disparu; elle a seulement été supprimée. J'ai relu maintes fois ce que j'avais écrit depuis mon réveil pour me rendre compte que oui, même les gens sur le Net agissent comme ceux que je connais dans le réel, mais il y en a encore beaucoup qui valent la peine dans tout ça. Le problème c'est qu'il y en a encore beaucoup aussi qui étaient vraiment concerné par ma note ouverte et qui, qu'importe ce que j'écrirai ici, ne commenteront jamais.... et ne viendront encore moins me parler. Et c'est de là où naît ma frustration, expliquer l'histoire en détail j'en aie pas envie. J'ai l'impression que je ne devrais pas donner plus d'attention qu'il faut à ces gens même si ça m'énerve ce qu'ils font. Ce que j'ai dit a touché les mauvaises personnes et je m'en excuse. Disons que ma tentative de réveiller les personnes visées à échouer et puis que bah... on passe à autre chose maintenant.
- La putain de boîte d'outils ne fonctionne pas lorsqu'on publie le commentaire alors abstenez-vous de toutes mises en forme de texte jusqu'à temps que j'ai désinfecter mon blogue déjà over infecté.
- Je me sens minable à cause de ma note d'hier en sachant que j'ai pu vexé ceux qui ne fallaient pas mais apparament que l'homme peut survivre dans n'importe quelle situation.
- J'ai faim.
- J'ai envie de changer de mise en page, encore. Je suis damné.
- J'ai faim.
- Suis-je la seule qui aime ça regarder Sous le soleil de St-Tropez? Je suis d'un kitch inavoué, je vous jure. J'aime regarder les émissions: Sous le soleil, Doc, Le Destin de Lisa, Gilmore Girls, All in the Family et Three's Compagny.
- J'ai faim.
Dead brain have no friends.
En ce moment, je ne sais pas trop pourquoi je suis devant mon ordinateur. Je
n'ai pas vraiment envie d'être devant mon écran, mais j'ai tout de même envie de
raconter quelques trucs sur mon blogue avant que ma mémoire vraiment excellente
(sentez le sarcasme, ici) en efface tout souvenir. Le roman The
Undomestic Goddess que j'ai emprunté à ma soeur est actuellement à côté de moi
et il me nargue comme un pauvre con. Si je ne résiste pas à la vile tentation,
je ne finirai jamais cette note et je vais passer la nuit à lire comme une
junkie (tasse le roman un peu plus loin). Sa couleur jaune-canari n'aide
en rien, difficile à ne pas spotter dans mon sous-sol presque plongé dans le
noir. En plus que j'ai l'impression que mes yeux travaillent contre moi, ils
essaient toujours de tourner le plus possible dans le coin pour le voir. Pft!
M'enfin... let's get on with the bisness!
Pleins de trucs à dire en fait. J'essaierai de faire vite, mais vous me connaissez...
Dimanche,
il m'est arrivé un truc qui m'a vraiment fait rire. Je m'étais mise toute belle,
bien maquillée... bref le gros pitounage pour ensuite devoir nettoyer la cuvette
de la salle de bain du sous-sol! J'avais beau essayer de penser à autre chose,
mais j'y arrivais pas; l'impression d'avoir un rendez-vous galant avec ma bolle
me faisait trop marrée! J'ai passé le plus clair de mon temps en train de rire
toute seule, la tête dans la cuvette, tout en frottant comme Cendrillon. Une
chance que personne n'est descendu pendant que je frottais, j'aurais sûrement
perdu le peu de crédibilité qu'il me reste.
Hier, avant d'aller chez ma
soeur, j'ai révélé un exploit que je ne suis pas certaine de pouvoir relever
deux fois (j'ai mes limites à être devine). J'étais sur le point de me
préparer lorsque mon père arrive du travail (travail de nuit + heures supp» le
matin = arrive vers midi). Il me dit qu'il va passer le gazon (gazon qui
s'était transformé en jungle = pas de sac après la tondeuse) et qu'il aurait
besoin d'aide pour passer le râteau. Euek. J'aurais préféré qu'on fasse
l'inverse, mais je n’allais pas argumenter avec lui; son humeur massacrante
était bien la dernière chose avec laquelle je voulais dealer pour la
journée. J'ai donc pris tout mon petit courage et j'ai enfilé mes baskets. Pour
réaliser que mon père parlait de tondre le gazon en avant ET en arrière. Bordel!
Il était midi passé, ma mère finissait de travailler à 2 h et il devait aller la
chercher en plus de me conduire chez ma soeur. J'étais tellement motivée par le
fait qu'on ne pouvait pas prendre du retard dans notre plan de match et par la
chaleur qu'en moins d'une demi-heure j'avais terminée de passer le râteau du
terrain avant ainsi que de la cour arrière..... À JEUN. Je ne sais vraiment pas
comment j'ai fait, mais c'était de peu que je vomissais dans mes petits tas
d'herbes...! Grâce à mes bras magiques, mon père a pu se doucher et on n’a pas été une
seconde en retard! Même qu'on était en avance, muhéhéhé. J'ai été surprise aussi
du fait que mon père m'a remis 20 $ pour l'aide que je lui aie donnée! Ça va me
permettre d'aller me faire tailler le buisson chez la coiffeuse! Tiens, ça me
fait penser qu'il faudrait que je l'appelle...
Ce soir, j'ai été en synchronisme cérébral avec lui*! J'avais fait quelques rêves déplaisants (comme ça m'arrive souvent) nous concernant et ça m'avait mis un peu de baboune au visage durant la journée. J'avais réussi à oublier tout ça lorsque ça m'est revenu en tête de plein fouet lorsque j'écoutais ma musique après avoir écouté CSI:Miami (le détail qui tue, néh). Après une heure à me décaper les tympans, je me suis résignée que je ne pouvais pas y faire grand chose... j'avais le blues. Je suis allée sur mon ordinateur pour tenter de voir si je pouvais pas me distraire avec les nouvelles notes de mes blogueurs favoris et ça marcher un peu. C'est à ce moment-là qu'il* m'a appelée. Pendant son ménage, il* est tombé sur la serviette où toutes les lettres, les dessins, les photos de moi y sont conservés. Apparemment que ça lui* a donné un sacré coup de blues parce que je lui manque et qu'il* a réalisé pour la énième fois qu'il* avait souvent agit comme un con... et que je devais vraiment l'aimer pour avoir enduré tout ça. C'est chou quand même, non?! Quand je pense que je m'en faisais à propos de mes craintes, à essayer de savoir s'il y avait pas "un signe" avant coureur d'une catastrophe..... et que lui se disait que j'étais merveilleuse! Pwah! Je vous dis pas le sentiment que ça m’a donné. Je me suis sentie toute bien, j'trouve pas les mots exacts. Ça m'a surtout convaincue que j'étais une parano dangereuse, mais ça j'étais déjà au courant, comme vous tous n'est-ce pas?! Dimanche prochain me semble encore bien loin avant de le revoir... Je n'ose même pas imaginer quand on va tous les deux combiner études+travail+amour. Ouf.
- J'ai manquer Le Destin de Lisa et Nip/Tuck ce soir, c'est vraiment moche!
- Y'a quelqu'un qui comprend le site http://www.mapassion.eu/? Je me suis inscrite et je suis toujours aussi confuse.
- Vous remarquerez qu'il y a maintenant une boîte d'outils pour la mise en page de texte pour les commentaires! Par dessus le marché, il y a l'option de prévisualisation d'un commentaire avant de poster, ça va éviter quelques erreurs de frappes stupides, etc.
- Pour la Fête des Pères, on retourne manger au Boston Pizza! NYYYAAAA!!!!!!!!!
- Gniah, je me lance dans la lecture maintenant!
- L'avatar ressemble à lui* et moi! Heeeeeee!
Humeur: Parano/Amoureuse
Musique: Stolen Babies - Filistata
Petite note anorexique
Ouais, j'écris une petite note complètement vide de contenu, ou presque, pour vous tenir au courant de ma vie d'infester (part I, part II). Je savais bien que je n'étais pas au bout de mes peines, vous aussi probablement, mais officialison les choses un peu, oui? Si vous êtes pas d'accord, ben... allez pèter din fleurs.
J'ai trouvé ma Charlotte (lire part II pour comprendre, néh). Non, ce n'est pas réjouissant.
Brune
quasi translucide, grande, maigre, longues pattes fines, mais surtout rapide
comme l'éclair. J'ai à peine eu le temps de crier à Wonder Maman de venir sauver
ma vie qu'elle avait disparut je ne sais pas trop où sur le périmètre de mon
bureau d'ordinateur. J'espère seulement qu'elle est pas allée se goinfré dans ma
boîte
de bonbons Nerds (règle un : ne jamais sous-estimer son ennemi), la
vache, ou sinon c'est assuré qu'elle va passer un mauvais quart d'heure
dans mon filtre à balayeuse of doom (règle deux : surprendre son
ennemi). Pft... Y' en a marre!
- Ce soir, je me suis souvenue de la raison qui m'avait poussée à arrêter de manger chez McDonald's. Never again, les p'tits animaux. Mes organes se révoltent.
- J'ai refait ma teinture aujourd'hui (noir, mais quelle question!) et je suis super contente. Bah ouais, je suis simpliste comme ça parfois! Ne me reste plus qu'à aller me faire tailler l'arbuste, c'est-à-dire ma tignasse.
- Savez pas quoi... Super N'amour à laisser ses DVDs à la maison donc je peux écouter Pirates Of The Caribbeans autant que je le veux! Muhaha! Oh, il ne faut pas oublier de mentionner Reservoir Dogs.
- Gah. Je hais le planning d'été à Séries Plus. Ah, tiens, ça me fait penser que je dois m'inscrire au concours laissez-passer double pour 1408...
- J'étais pas sur le point de terminer ma note et de la publier? M'ouais, c'était ça que j'étais sensé faire... Foutu RadioBlogClub qui me dit toujours "File Error".
EDIT: BORDEL DE MEURDEUH! Le concours de 1408 avec Séries Plus est finit! Je savais que j'aurais dû entrer l'indice... il y a longtemps. Buuuu! Au moins, Super N'amour a eu un laisser-passer gratuit pour aller voir Surf's Up! J'imagine qu'il y a compensation?
Humeur: parano/écoeurée/empoisonnée de mcdo
Musique: Indochine - L'aventurier
La loi du cochon
Réalisateur: Érik Canuel (Bon Cop, Bad Cop)
Scénariste: Johanne Arseneau
Distribution : Isabel Richer, Catherine Trudeau, Jean-Nicolas Verreault
Durée : 98 minutes
Origine : Québec
Synopsis: La Loi du cochon raconte l'histoire de deux soeurs propriétaires d'une porcherie, qui acceptent de faire pousser de la marijuana dans leur champ de maïs afin de rembourser leurs dettes. Cependant, lorsque la banque demande que les paiements soient effectués dans les plus brefs délais, Stéphane (Isabel Richer) concocte un plan à l'aide de son ex-copain (Christian Bégin) afin de voler les plants avant la récolte. Bien entendu, tout ne fonctionne pas comme prévu et Stéphane et sa soeur Bettie (Catherine Trudeau) doivent faire face à deux truands aussi stupides qu'agressifs, Paquette (Sylvain Marcel) et Chose (Jean-Nicolas Verreault).
Commentaire: Cette production vous surprendra sûrement plus que probablement par le fait que
ce film se distinct des autres productions québécoises. Généralement axé sur le
drame ou la comédie, le Québec se limite en terme de genres et c'est la première
surprise que nous réserve La loi du cochon. Canuel nous offre un
film hyperstylisé de gangsters, pimenté de blagues et de suspens filmé avec
caméras DV.
Le premier charme de ce film est, et cela saute aux yeux, la qualité du jeu des
acteurs. Tout au long du film, j'ai adoré les personnages fous de Sylvain Marcel
et Jean-Nicolas Verreault. Les réactions et les crises de rage de Paquette,
interprété par Marcel, sont jouées d'un naturel saisissant. Parfois, il fallait
que je me dise que ce n'était qu'un personnage tellement Sylvain a rendu justice
à son rôle de crapule égocentrique. Le personnage de Verrault, c'est-à-dire
Chose, est lui aussi remarquablement interprété avec talent! Il a tout adapté à
son personnage pour lui donner un réalisme effrayant : regard vide, air froid,
voix avec un ton neutre, mais un peu stupide et la démarche typique du
criminel aux allures retardées, mais qui cache une agressivité troublante. Les victimes prises en otage, je parle ici des rôles d'Isabel Rocher et
Catherine Trudeau, ne sont pas à oublier. Durant les premières minutes du film,
avant que l'action commence réellement, je n'étais pas convaincue par le
personnage de Catherine, mais lorsque les scènes de suspens s'enchaînent, elle
m'a donné des bouffées de stress puissance 1000. Évidemment, Isabel Richer a
encore une fois été spectaculaire. Je pourrais parler de son talent durant des
heures, mais maintenant que je suis passée sous aveux, je peux vous épargner
cette torture. Vous jugerez par vous-mêmes de son talent! Sinon, un des
personnages secondaires qui m'a à la fois surprise et intéressée était ce drug
dealer qui adore congeler ses victimes dans son camion de « bétail ». Il est
crasseux à souhait et sa démence est évidente par ses rires diaboliques, ses
menaces... et le fait qu'il adore manger des langues de porc (ou d'humains?)
crues. Je ne sais pas quel est le nom de l'acteur qui a campé ce rôle, mais
j'espère le revoir sur nos écrans! Bref, il est évident que les acteurs ont pris plaisir à camper leurs rôles et cela ne passe pas inaperçu!
Malgré ces éloges, le film n'est pas parfait. Un des premiers défauts, et
sûrement le plus superficiel de tous, est le fait que le film a été tourné
entièrement en numérique. L'effet DV pourra être déplaisant pour certains tandis
que pour d'autres, un petit moment d'adaptation suffira. Cette technologie est
pourtant une « béquille » pour le cinéma indépendant puisqu'elle permet de
produire à de moindres frais des films audacieux! Les autres défauts sont des
erreurs de montage ici et là, une musique qui semble parfois travailler contre
le film plutôt que de l'améliorer et les influences Tarantino et Ritchie presque
évidentes pourraient aussi aller dans la catégorie des défauts, même si elles
sont aussi une qualité du film. Pour nommer une autre qualité du film, je dirais
que le scénario a une grande part de réussite pour cette réalisation de Canuel
puisqu'il donne une personnalité haute en couleurs au film. Ce gros plus, ajouté
à la qualité du jeu des acteurs, nous permet de passer par-dessus les quelques
défauts.
Impossible de passer à côté de La loi du cochon si
vous voulez découvrir ce qui se fait de bien par chez nous ou si vous êtes un
cinéphile qui adore le cinéma étranger. Avec une grande énergie, les scènes nous
amènent d'une surprise à une autre, dosant avec un équilibre juste les moments
tantôt loufoques, tantôt boostés d'adrénaline. Qu'attendez-vous pour louer ce
film?!
Cote:
Encore un mini-moi 3D ou presque
Dès que j'ai vu qu'Emilie avait fait le sien sur Yahoo.Fr, je me suis inscrite uniquement pour le thrill d'avoir un autre mini-moi dans ma collection exhaustive. Et je le sais, je met toujours un chat avec moi même si mon chat est mort mais c'est pas grave parce que vous savez quoi? Bah, il est comme devenu ma (mauvaise) conscience! Muhaha!
L'infestée, part II
Je n'en peux plus, tout simplement. S'il faut que je me barricade dans ma
chambre avec un arsenal de balayeuses, de Raid & Cie,
soit! Depuis la mésaventure
que j'avais racontée sur mon blogue, on a eu quelques semaines de paix, mais
elles ont paru vraiment trop courtes. Plus mon père rajoute des produits contre
les fourmis, plus elles semblent nombreuses. Noires comme du cuir, elles sont
tellement mastodontes qu'on peut voir chaque infime partie de leurs corps!
Eurk! Pourtant, c'est des produits pour les tuer qu'on asperge sur nos
rebords de murs et de fenêtres, pas des stéroïdes! La plus grosse des fourmis,
que ma mère a courageusement écrabouillé de sa gougoune nationale, a fait le
plus gros craquement depuis le barbo que mon père avait
tué il y a de cela... plusieurs étés AKA j'étais très jeune.
Je suis
révoltée, vraiment! Deux fourmis me sont tombées dessus lorsque j'étais en train
de créer des blocs-notes dont une avait des ailes. Wonder Maman l'a tué, mais la
précédente, je l'ai foutrement aspiré avec la balayeuse! Non, mais qu'elle aille
faire chier quelqu'un d'autre! J'ai l'air d'un mur d'escalade, peut-être? Non.
La dernière fourmi escaladeuse a été victime de mon meurtre le plus terrible.
J'essayais vainement de décoller des morceaux de viande congelée Black Angus
lorsque je me rends compte qu'une saloperie de fourmi me court sur le bras.
Arg!!! On ne peut pas travailler ET faire la cuisine en paix?! Du coup, j'étais
tellement enragée que j'ai pris le couteau le plus proche de moi et je l'ai
envoyé valser dans l’évier. J'ai ouvert l'eau chaude et je l'ai noyé, l'amenant
rapidement dans les entrailles de la tuyauterie de ma maison. J'étais très fière
de mon coup... pendant cinq secondes. J'ai eu des remords parce qu'après l'avoir
jeté dans l’évier, j'ai vu qu'elle se touchait la jambe... Je l'avais
blessé!
Mais fallait pas me faire chier, désolé poupée. You have been
erased!
J'ai pratiquement eu la paix depuis mon meurtre regretté. Il
y a eu cette espèce de bébitte bizarre qui vole, mais Wonder Maman l'a tué juste
à temps. Sauf que cette nuit, une de ses semblables a décidé de venir ruiner mon
inspiration. Je l'attendais depuis trois jours cette putain d'inspiration et
voilà qu'une connasse de première venait tout foutre en l'air. J'ai eu le temps
de « l'admirer » un peu et la description que je peux en faire est : une sorte
de bébitte d'humité boostée aux stéroïdes avec des ailes qui font le même bruit
qu'un écran d'ordinateur qui s'ouvre (genre le candidat A sur l'image). Mère Nature, pourquoi accoucher de telles
bestioles? Elles peuvent être mignonnes ET efficaces, tu sais. Pas obliger d'en
faire des Quasimodos sans Esméralda. M'enfin. J'ai réussi à l'aspirer avec notre
nouvelle balayeuse (oui, ma mère a maintenant eu plus de balayeuses que de
souliers dans sa vie). Oh, j'ai même tué une petite bébitte rouge sang
durant la journée. J'ai encore son sang séché, avec un vilain mélange d'organes
écrasés, sur mon écran d'ordinateur. Miam!
Tout ça pour dire que ma maison c'est devenu une grange. Il ne me reste plus qu'à trouver ma Charlotte.
- C'est vraiment moche, je m'ennuie de mon Tamagotchi ! Eh oui, je n'ai toujours pas acheté une nouvelle pile .
- Je me suis fait une nouvelle copine du Web; elle vit à Vienne! Elle apprend le Français et elle compte venir étudier pour un ou deux semestres au Canada! Je crois qu'elle veut continuer à me parler pour se perfectionner, mais c'est pas vraiment grave, elle est sympa. Plutôt rare pour une personne trouver sur SoulSeek (mauvaises expériences avec les autres utilisateurs, disons...)
- Composer me donne des fringales de TOUT. Et quand je dis tout, c'est vraiment tout.
- Oh, et j'ai vraiment eu une crise de coeur quand j'ai vu la photo du barbo. Je suis à ce point traumatisée.
Humeur: écoeurée
Musique: Le thème de l'émission Nip/Tuck parce que je vient de l'écouter... Je suis la seule qui déteste comment le narrateur à Série Plus dit Nip/Tuck pour les annonces publicitaires?! NEEp TÔck, avec une grosse voix de boeuf...ouache.
PVC classic underbust corset = <3
Je fait rarement des notes à propos d'images uniques ou de vêtements, mais cette-fois ci je dois briser la routine. Je suis tomber par hasard (ou presque) sur ce site de vêtements pratiquement qu'en latex/vinyl et j'ai trouver LE kimono de mes rêves .
This is a simple classic cincher, really the 'little black dress' of cinchers is boned with thick plastic and backed with coutil for thickness and rigidity. Metal eyelets and grommets (washers) for quality. Comes with two long fray free cords.This will give you a reduction of between two to three inches depending on your waist training experience and comfort level. If you plan to primarily wear this with a Kimono you may want to go a size up to allow for the fabric thickness underneath. It is the perfect addition to any fetish or gothic wardrobe. For a more extreme look check out the new WW corset. - ArtificeClothing.Com
Je me demande si mon n'amoureux serait, un jour, assez généreux pour m'acheter ce kimono. Je peut toujours le convaincre en lui disant qu'il y a un côté pervers à cette tenue. Quand même pas si mal comme prix: 65$ USD donc environ 70$ CAD (50 €) si on arrondit...!
Zombie Grinder
Muhéhéhé, en attendant que le livreur amène mon sous-marins tout garnis+Pepsi+frites, je m'amuse à me "défouler" en jouant à cette petite découverte gore et black metal (m'enfin, grognements d'homme des cavernes) que j'ai trouver sur un image board. Je nomme Olle Hemmendorff's Zombie Grinder 60000! Le but de ce zombie shooter est très simple. Laissez-moi vous expliquer les règles à suivre si vous voulez survivre à ce jeu psychédélique.
Premièrement, il faut monter le volume de nos hauts parleur sinon le jeu n'en vaut pas vraiment la peine. Si vous êtes comme moi et que vous n'aimez pas vraiment le style de musique, doser un peu moins sur le volume. À moins d'être vraiment sadique dans votre crise de rage....
Deuxièmement, il ne faut pas marcher dans le feu. Le feu est mauvais pour vous. C'est le mal.
Troisièmement, les zombies tenteront de s'accrocher à vous et de vous mangez lentement. C'est aussi mauvais pour vous.
Quatrièmement, lorsque votre gauge de vie est vide, c'est mauvais signe.
Cinquièmement, si vous n'avez plus de balles vous êtes dans la merde. Vous devez en trouver.
Les contrôles sont simples: bougez et sautez avec les flèches de votre clavier. Visez et tirez avec votre souris! Oh... faites attention, ça va TRÈS vite !
Vous vous sentez prêts? SHOOT 'EM ALL!
Hollywood devrait m'engager
Je l'ai répété souvent sur mon blogue, je suis une insomniaque qui — quand elle arrive à dormir — fait des rêves vraiment bizarres. Pour faire changement, j'ai réussi à me souvenir d'un des rêves que j'ai faits la nuit passée. Accrochez-vous les p'tits animaux, c'est dans le bizarre extrême .
Mon rêve prend place dans un Tokyo effervescent durant la nuit.
Il y a un gros événement et c'est celui de pouvoir regarder des films dehors
avec tous nos joyeux concitoyens (ça n'existe sûrement pas, mais bon qui veut
le concept, prenez-le...). Sans vraiment comprendre pourquoi, je suis à
Tokyo avec ma famille et mon n'amoureux. Avant la présentation, on a droit aux
fameuses bandes-annonces. La première c'est un film nunuche dans le genre
comédie romantique avec une fille vraiment trop saoulante qui rit tout le temps
pour rien (dans le genre Destin de Lisa (quand
elle pense à David), pour vous donnez une idée). La seconde bande-annonce c'est un film sci-fi/horreur. On voit
l'actrice Hilary Swank morte et enceinte sur une route quelconque. Une fille
s'approche d'elle pour prendre son bébé apparemment déjà évacué et... c'est une
sorte de petite bébitte blanche aux allures reptiliennes... ou plutôt Gecko
(bonjour les similarités avec Alien).
Et c'est là que ça devient vraiment bizarre. Soudainement, je ne suis plus à
Tokyo en train de regarder la bande-annonce, mais ça se passe pour vrai. Je me
retrouve plongée dans "le film" où la population apprends au bulletin de
nouvelles, animé par nul autre qu'Oprah Winfrey (avec une voix énervante), que ces petites bêtes
blanches sont apparemment une épidémie qui se propagerait entre animaux... Les
effets « secondaires » de ce virus sont que les animaux deviennent immenses
(dans le genre Godzilla) et ils sont très sauvages. Le bulletin de
nouvelles se termine par Oprah qui dit qu'elle doit tout arrêter parce qu'un
animal se dirige droit sur le studio et surprise... je fais partit du plateau de
tournage genre qu'il y avait une foule pour regarder Oprah dire les nouvelles en
studio. Alors, on court vite dehors, je suis accompagnée de Trucydae (WTF, j'espère que t'es
contente!) et on saute dans un SUV blindé et noir (la classe!). On
réussit à faire entrer le plus de gens possible avec nous sauf qu'il y a encore
de la place pour trois personnes. Alors, je demande à tout plein de gens s'ils
veulent embarquer, mais ils refusent tous (bande de caves) alors on passe
notre chemin. Je suis la seule qui se préoccupe des trois places vides (j'ai
le rôle de la fatigante...) et je suis toute troublée quand on ignore
cette petite fille retardée et déformée (que j'ai connu durant mon
secondaire).
Finalement, ça se termine que Trucydae et moi on se retrouve saine et sauve dans une maison que je semble connaître. Je nous trouve trop paisibles, mais bon, hein... Trucydae a décidé de commencer une fan fiction tandis que moi j'essaie de rejoindre ma soeur qui, apparemment, est trop préoccupé à chatter que de savoir le stress que j'ai vécu. Bizarrement, en moins de deux, je me retrouve à côté d'elle et je l'engueule. Et c'est là que je me réveille parce qu'il y avait un gros camion qui passait sur ma rue et je pensais que les gros animaux allaient venir me dévorer. Et me rendre compte que j'avais seulement dormi trois heures d'affilées. Gniak .
Quelqu'un veut partir dans une quête onirique avec moi?! Non? C'est ce que je pensais...!