V-day

13 février 2007

À chacun ses projets de St-Valentin, que ce soit hyper romantique si vous êtes un couple ou complètement trashy si vous êtes célibataire, moi j'ai faillit rien avoir du tout. Oh, faut pas avoir pitié de ma cause ! Tout compte fait, quand j'analyse de fond en comble le dossier "St-Valentin 2007", ça ne me dérange pas plus qu'il ne le faut. Je ne sais pas pourquoi. Probablement parce que je déteste tout ce qui est normal pour les autres et marketing pour les riches. De toute manière, la plupart du temps quand il y a des dates de fêtes d'amoureux, je ne peut jamais le voir alors... Après trois ans, on est habitué.
Par contre, ça n'explique toujours pas pourquoi j'ai eu envie qu'on aille souper au Boston Pizza "en occasion de la St-Valentin". Probablement parce que ça remonte à longtemps notre dernier souper à deux sans être constamment dérangé ou obligé de prendre part à des conversations loin de nos intérêts. Mwarf. Au moins je sais que samedi j'aurai un bon repas à déguster et de l'alcool pour accompagner le tout !

M'enfin, aujourd'hui j'ai vraiment pas d'inspiration (comme vous pouvez le constater, gracieuseté de mes étourdissements !). Alors je peut bien vous racontez le meurtre que j'ai commis hier après-midi. J'étais en train de laver la vaisselle quand mon oeil à capté quelque chose de noir sur le comptoir. Bah oui, une conne de fourmis. Ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas capable d'approcher un insecte, même avec un rouleau de Sponge Towels après ma main. J'ai donc planifier sa mort. J'ai emprisonné la fourmis sous un verre que j'ai fait glissé (en lui écrasant les pattes sans faire exprès) jusqu'à l'évier. Je l'ait jeté dedans et puis j'ai fait partir l'eau... et je l'ait regardé "partir". 24 heures plus tard, j'en suis encore traumatisé.

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